Hier, ma charmante et magnifique femme me demande: as-tu quelque chose de prévu aujourd'hui?
Je lui réponds comme toujours : jusqu'à présent non.
Elle me dit : alors, tu n'as rien?
Je lui réponds : jusqu'à présent non.
Elle déteste ce genre de réponse, car pour elle ça serait plus simple que je dise tout simplement: non je n'ai rien. Cependant lorsqu'on est photographe de presse, on est toujours en mode attente, car la nouvelle peut survenir à tout moment. ( j'ai l'impression de faire une pub à LCN)
Je me suis donc présenté hier matin à RueFrontenac en n’ayant aucune idée comment ma journée se terminerait... Le téléphone sonne, mon collègue journaliste David Santerre à besoin d'un photographe au palais de justice, afin de faire des clichés de l'ancien comédien et présumé pédophile, Jean-François Harrisson. Je vais le rejoindre au palais de justice au 4e étage, et je constate que nous ne sommes pas les seuls présents sur place, beaucoup de médias et de magazines à potins, sont également présents, et attendent M. Harrisson.
C'est alors que mon regard se pose sur l'étage du bas, lorsque j'aperçois deux agents spéciaux, courir vers l'extérieur du palais. Je fais mention de ce que j'ai vu à un collègue photographe, mais celui-ci me dit qu'il ne s’agit probablement de pas grand-chose et qu'il ne souhaite pas manquer la photo de M. Harrisson. C'est alors que j'aperçois un autre constable courir vers l'extérieur, aussitôt je quitte le 4e étage et je me dirige vers la sortie Notre Dame.
À ma sortie du palais, j'aperçois des agents courir un peu partout dans la rue, j'entends égalment des passants crier "Il l'a tiré dessus " et un agent spécial qui semble souffrir le martyre au loin. Aussitôt, je me dirige vers l'agent qui est à une centaine de mètres de moi en direction de l'hôtel de ville. En chemin je prends la peine d'appeler mon collègue photographe, qui lui est resté au palais de justice et je lui dis : viens dehors, il y a eu une fusillade.
Le reste de l'histoire vous la connaissez, sinon il y a l'excellent texte de mon collègue David Santerre ICI. Global TV à également utilisé une de mes photos dans le reportage ICI.
Voici quelques clichés de cet évènement d'hier en face du palais de justice, ou mon instinct à jouer en ma faveur...
Je lui réponds comme toujours : jusqu'à présent non.
Elle me dit : alors, tu n'as rien?
Je lui réponds : jusqu'à présent non.
Elle déteste ce genre de réponse, car pour elle ça serait plus simple que je dise tout simplement: non je n'ai rien. Cependant lorsqu'on est photographe de presse, on est toujours en mode attente, car la nouvelle peut survenir à tout moment. ( j'ai l'impression de faire une pub à LCN)
Je me suis donc présenté hier matin à RueFrontenac en n’ayant aucune idée comment ma journée se terminerait... Le téléphone sonne, mon collègue journaliste David Santerre à besoin d'un photographe au palais de justice, afin de faire des clichés de l'ancien comédien et présumé pédophile, Jean-François Harrisson. Je vais le rejoindre au palais de justice au 4e étage, et je constate que nous ne sommes pas les seuls présents sur place, beaucoup de médias et de magazines à potins, sont également présents, et attendent M. Harrisson.
C'est alors que mon regard se pose sur l'étage du bas, lorsque j'aperçois deux agents spéciaux, courir vers l'extérieur du palais. Je fais mention de ce que j'ai vu à un collègue photographe, mais celui-ci me dit qu'il ne s’agit probablement de pas grand-chose et qu'il ne souhaite pas manquer la photo de M. Harrisson. C'est alors que j'aperçois un autre constable courir vers l'extérieur, aussitôt je quitte le 4e étage et je me dirige vers la sortie Notre Dame.
À ma sortie du palais, j'aperçois des agents courir un peu partout dans la rue, j'entends égalment des passants crier "Il l'a tiré dessus " et un agent spécial qui semble souffrir le martyre au loin. Aussitôt, je me dirige vers l'agent qui est à une centaine de mètres de moi en direction de l'hôtel de ville. En chemin je prends la peine d'appeler mon collègue photographe, qui lui est resté au palais de justice et je lui dis : viens dehors, il y a eu une fusillade.
Le reste de l'histoire vous la connaissez, sinon il y a l'excellent texte de mon collègue David Santerre ICI. Global TV à également utilisé une de mes photos dans le reportage ICI.
Voici quelques clichés de cet évènement d'hier en face du palais de justice, ou mon instinct à jouer en ma faveur...
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